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C’est là où Létang a parfaitement raison de pousser une gueulante. À partir du moment où Stefan a pris les commandes, le club s’est mis dans le bon sens et a donné l’impression de surperformer, sans trop savoir jusqu’où allait prendre la mayonnaise.Alors que le sprint final est lancé, on se retrouve en chasse-patate, à dégringoler au classement là où on pouvait nourrir quelques ambitions, avec une finale de coupe à jouer où les probabilités de perdre sont bien plus importantes que de gagner.
D’ici à ce qu’à l’arrivée le bilan soit celui d’un club qui a reculé, à l’issue d’une saison de feu où il n’a pas arrêté d’envoyer du rêve...
Ceci étant, envoyer du rêve, avoir de l’ambition, grandir, gagner des trophées ou jouer l’Europe, c’est bien gentil, mais la réalité aujourd’hui, c’est celle d’un club moyen/bon avec un effectif moyen/bon qui arrive à ses limites.
Ça n’empêche pas d’y croire
