Il a tort quand il dénigre cette coupe, il a raison quand il dit qu'avec notre budget, on doit sortir de la poule. Il a raison quand il dit que Tottenham malgré son budget, depuis le saison c'est pas terrible. Pour moi et (enfin pour les dirigeants du club), on doit être ambitieux et pas avoir'peur de ces clubs comme Tottenham, on affronterait le Barça, ça serait pareil. Lille l'a prouvé contre Séville, Marseille contre la Lazio, il faut arrêter d'avoir un complexe d'infériorité. La L1 est plus fort et ça se traduit pour le moment par les résultats en Coupe d'Europe
bzhyoyo a écrit :Il a tort. Et si tu trouves ça à se tordre (Arti...) de rire, ben merde, faut être bon public.
Parce que Didot ne parle pas de battre Mura, il parle d'être devant Tottenham. Et puisqu'il parle budget, Tottenham aurait une enveloppe de 280 millions pour son prochain mercato. Alors quand il dit que c'est heureux qu'on batte Mura avec nos 45 millions de budget (tip : il est à côté de la plaque, évidemment), il oublie de dire alors que Tottenham devrait survoler le groupe avec le sien.
Bref, un beau connard qui se fait à raison défoncer dans les commentaires pour une "analyse" aussi pourrie.
j'ai jamais trouvé ça drôle, moi !
Je suis un homme de goût, moi monsieur !!!
Futur vainqueur des Prostiks 23/24 !!! CCCCCECCECCECCECCECCECCFCFCCFCECECFCCCCFCCCCCCC
C : Championnat
E : Europa League
F : Coupe de France
avoir torT. Se tordre de rire. Jeux de mot, toussa...je répondais en fait à Tonton tout en te signalant la faute d'orthorgraphe.
"For every complex problem there is an answer that is clear, simple, and wrong." - H.L. Mencken
«Tous ces gens qui nous ont chié dessus pendant des années, putain, mais prenez conscience de ça, qu’on est un putain de bon club.» Romain Danzé
On a 10 points sur 12 dans le groupe le plus difficile.
Aucun club à 12 points dans les autres poules.
La Roma en a pris 6 il y a 2 semaines.
Cluj et l'Union Berlin sont carrément derniers de leur groupe.
Et ça banalise ce qu'on fait.
Ce mec est une baltringue. Il fait son show pour faire parler sur les réseaux et ainsi avoir sa place autour de la table lors d'une prochaine émission et toucher son petit billet.
Il est payé pour ça, on lui dit de boire des ricards entre deux champs où il apparait
En plus d'être odieux, il raconte n'importe quoi
Des grosses merdes qui ne s'écoutent pas, je comprends même pas comment certains peuvent s’infliger un visionnage, et surtout comment Didot les supporte.
FlaIron a écrit :Ce mec est une baltringue. Il fait son show pour faire parler sur les réseaux et ainsi avoir sa place autour de la table lors d'une prochaine émission et toucher son petit billet.
Et après ça va se plaindre que les clubs français jouent pas la coupe d'Europe, mais ça dénigre la coupe d'Europe si c'est pas la LDC : on a beau chercher de la cohérence, y'en a pas. C'est clair que le mec est payé pour débiter des propos outranciers et faire le buzz. Avant y'avait Dédé qui faisait pareil au comptoir, sauf que lui, on le payait pas pour le faire.
"For every complex problem there is an answer that is clear, simple, and wrong." - H.L. Mencken
«Tous ces gens qui nous ont chié dessus pendant des années, putain, mais prenez conscience de ça, qu’on est un putain de bon club.» Romain Danzé
"For every complex problem there is an answer that is clear, simple, and wrong." - H.L. Mencken
«Tous ces gens qui nous ont chié dessus pendant des années, putain, mais prenez conscience de ça, qu’on est un putain de bon club.» Romain Danzé
Le match : 4-1
Si Rennes (5e) et Lyon (6e) étaient au coude à coude au classement avant ce match, il y a eu un monde entre ces deux équipes pendant. L'effectif breton a logiquement remporté ce duel entre Européens, qui lui permet d'étirer sa série d'invincibilité, désormais nourrie de dix rencontres, toutes compétitions confondues.
Déjà vainqueur du PSG (2-0, 9e j.) pendant cette période dorée, le Stade Rennais a donc ajouté à la liste un candidat au podium, notamment grâce à quarante-cinq premières minutes fantastiques. Pressing, jeu, intensité, générosité : l'immense première période de Rennes aurait déjà dû être un triomphe, celle de l'OL un naufrage. Mais Lopes, le gardien des Gones, a contrarié ce scénario grâce à ses multiples parades face à Terrier (8e, 17e), Laborde (27e) et Tait (40e).
Et, quand l'international portugais était battu, ses défenseurs se sont chargés de le sauver lors d'une action brûlante, à la 17e minute : Dubois a contré le tir de Terrier puis, dans la foulée, Guimaraes s'est opposé à la frappe de Laborde. Les hommes de Bruno Genesio ont donc dû attendre la 45e minute pour concrétiser leur domination incontestable, leur supériorité dans tous les domaines, à la suite d'un corner de Bourigeaud repris par Laborde, d'une tête smashée (1-0).
Secoués, étouffés, concassés, la plupart du temps en infériorité numérique, les Lyonnais ont entamé la seconde période avec quelques réaménagements attendus : Slimani est entré en pointe tandis que Guimaraes sortait.
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Le film du match
Mais le 4-2-3-1 n'a pas eu le temps de faire ses preuves, puisque Traoré s'est projeté dans la surface pour reprendre victorieusement le ballon, alors que Denayer venait de repousser une frappe acrobatique de Laborde (2-0, 50e). Les Lyonnais ont eu beau contester au regard d'une histoire de remise en touche litigieuse, le break était fait. Ils ont réagi par Paqueta, auteur d'une tête cadré, le premier tir de l'OL, à la 58e minute.
Mais les Rennais ont frôlé le 3-0, lorsque Lopes, touché à la cheville droite depuis la fin de la première période, a repoussé la tête de Bourigeaud (60e). Ils se sont alors offert le luxe de laisser un peu plus le ballon aux Lyonnais, permettant à Gomis de briller à son tour (75e), avant que Truffert n'éteigne définitivement le suspense au bout d'un contre (3-0, 76e).
À peine entrée en jeu, le latéral a frappé en tombant, sept minutes avant de réussir une volée du gauche qui ne devait rien à la chance, elle (4-0, 83e). Il ne manquait plus que quelques « Olé » tombés des tribunes pour accompagner l'humiliation lyonnaise, à peine atténuée par le penalty de Paqueta (4-1, 90e +4).
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Lyon n'a pas tenté le moindre tir avant la pause contre Rennes, une première à la pause d'un match de L1 depuis le 25 novembre 2012 à Toulouse.
L'Equipe du soir : 40 minutes de debrief dont 38 sur la défaillance de l'OL et pas un mot sur Lovro Majer, homme du match !
Vraiment une bande de tocard(e)s !!!
j'ai jamais trouvé ça drôle, moi ! 
