ECL3 J5 SRFC 3-3 Vitesse [jeu 25 Nov 2021]

[Barnard]

Dernier message de la page précédente :

Etonnant le ton de cette émission. Limite malaisant.

[tonton35]

Le meilleur moyen de ne pas être déçu est de ne pas regarder. De toute façon, les connaisseurs du stade rennais se trouvent ici

[tonton35]

"Parler de Rennes", c'est vite dit : il ne font que parler de Laborde parce que ces mecs n'ont absolument pas le niveau pour parler tactique. C'est même à se demander s'ils ont vu le match (L'OM jouait au même moment), donc parler de Laborde, c'est confortable, on peut ressortir des lieux communs sans trop révéler qu'on est des glandus.

Fais pas ton "marseillais". Ils ont parlé de Laborde 5min sur 10min. Sois précis même si tu veux cracher ton venin sur cette émission

[Droopy2]

Face à des Hollandais vaillants, le Stade Rennais a décroché une qualification européenne en clair-obscur. Déjà, parce que les joueurs d’Arnhem ne sont pas les peintres que l’on a bien voulu croire, mais surtout parce que les Rouge et Noir ont livré un match moyen comme ça peut arriver à n’importe qui. « On avait mis la barre très haut sur la série. On ne connaît pas beaucoup de clubs qui gardent ce niveau-là tous les trois jours, ça reste humain », tente d’expliquer Jonas Martin qui a observé le match depuis le banc de touche.
Pas facile de rééditer tous les trois jours des performances du calibre de celle de Lyon et même Montpellier. « Ça peut aussi arriver d’être moins bien sûr un match, confirme Bruno Genesio. Sur les jours où on est moins bien, il faut être plus solide, plus expérimentés pour maîtriser nos temps faibles, éviter de se faire rejoindre comme hier. Ça peut être un accident, je l’espère. On verra si on est capable de rebondir, c’est le plus important. »
Ce coup de moins bien peut aussi être physique. Le jeu du Stade Rennais requiert beaucoup de courses, de pressing, de mobilité du bloc et ne souffre aucune baisse de régime. « On ne peut pas se permettre d’être à 90 %. On a peut-être eu un peu de relâchement hier, mais il ne faut pas non plus s’inquiéter ou cogiter. Il faut simplement se rappeler que lorsqu’on n’est pas à 100 % on se fait punir », ajoute Jonas Martin. On peut faire confiance au coach et son staff pour se servir de cette prestation plus moyenne pour remobiliser le groupe avant Lorient et de s’en servir comme d’une piqûre de rappel.

-Des manques étonnants-
Vendredi, la colère d’après match de Bruno Genesio était passée, mais le coach rennais analysait toujours sévèrement la prestation de ses joueurs. Après avoir revu le match. Il pointait un problème tactique et d’adaptation au système et à la défense à trois des Néerlandais. « Mais c’est un petit problème par rapport au reste. On a manqué de beaucoup trop d’allant, de justesse technique, de trop de choses qui avaient fait notre force ces derniers matches. C’est un résultat logique. À 3-1, j’avais dit à mes adjoints qu’on ne le méritait pas forcément à ce moment du match. »
Des manques aussi à la récupération du ballon. « Car on n’a pas fait les choses en ensemble. » Enfin techniquement, outre le déchet inhabituel de certains joueurs, des mauvais choix ont été faits. « On a trop touché le ballon. On n’a pas été assez performant dans la gestion de la profondeur. Dans les duels aussi, en étant régulièrement battus dans les airs ou au sol », ajoute Genesio.

Qu’on ne s’y trompe pas Rennes n’a pas perdu. La série court toujours, elle en est désormais à 12 matchs sans défaite. Au contraire, le SRFC s’est qualifié et, avec l’aide de Mura et d’un peu de chance, est assuré de terminer premier de sa poule. « Si on nous avait dit ça au moment du tirage, on aurait signé des deux pieds et deux mains. Il faut savoir être exigeant mais apprécier de pouvoir accrocher nos objectifs quand on est moins bien », tempère Bruno Genesio. Ne pas faire la fine bouche pour savourer l’instant. Car il reste rare dans l’histoire du club. Car Rennes est invaincu dans une poule qui s’avère plus relevée qu’on ne le croyait, notamment cet étonnant petit club slovène à qui Rennes doit sa première place et un match « gratuit » le 9 décembre.

O.F. - L.Frétigné

[bzhyoyo]

Fais pas ton "marseillais". Ils ont parlé de Laborde 5min sur 10min. Sois précis même si tu veux cracher ton venin sur cette émission

T'as sûrement été rigoureux au point de chronométrer le truc avec une montre, précisément.
Je vois pas, par ailleurs, ce que les marseillais viennent faire là-dedans.

[tonton35]

Pour ta culture Mr Je sais TOUT :

C’est tellement vrai qu’ils racontent même qu’un jour, une sardine a bouché l’entrée du Vieux-Port. Enfin, l’expression est devenue si populaire en France qu’on en vient à croire que ce sont les Marseillais eux mêmes qui ont propagé la rumeur… Mais comment quelqu’un aurait pu proférer un tel mensonge ? On est à Marseille, d’accord, mais quand même : une toute petite sardine ! C’est qu’en réalité, la sardine était plutôt… la Sartine, une frégate de commerce construite en 1775, ensuite reconvertie en bateau de guerre, qui tenait son nom du ministre de la Marine sous Louis XVI. Jusqu’ici tout va bien. En 1779, le navire est affrété au retour de prisonniers de guerre. À son bord donc, des français libérés par les anglais, qui se dirigent vers la cité phocéenne. Les marseillais exagèrent tellement qu’ils racontent même qu’une sardine a bouché le Vieux-Port. Ce qui n’est pas totalement faux.. Ils naviguent sous pavillon blanc et sont désarmés. Mais au moment d’atteindre Marseille, le capitaine commet l’irréparable, et hisse haut et fort le pavillon français. La foudre des anglais s’abat sur la frégate, qui coule à-pic à l’entrée du Vieux-Port. Et l’obstrue pendant plusieurs jours. Une Sartine déformée se transforme vite en sardine : vous voyez donc bien que l’histoire est vraie !

[bzhyoyo]

ah ok, je connais l'histoire bien sûr, mais puisqu'on parlait foot, j'étais resté bloqué sur foot/OM.
C'est ça le problème quand on sait tout, on a parfois du mal à s'en souvenir tellement y'a de choses stockées en mémoire. Difficile de faire le tri.

[FlaIron]

Difficile de faire le tri.

Il faut éviter les coups en natation, ne pas tout à donner sur le vélo pour finir fort à pied...