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sortir une info de la teneur d'un entraineur et président viré alors qu'il n'en est rien n'est pas une cabale, c'est vrai. Mais c'était "un petit peu" malvenu dans le contexte de la crise des résultats. Au lieu d'expliquer que certaines défaites sont dues à des causes conjoncturelles (comme l'a très bien fait le post que j'ai repris sur le forum des cahiers du foot), donc des articles de fond qui replace les événements dans un contexte global, on nous annonce le grand chamboulement.Je serais l'entraineur d'un groupe jeune, en crise de confiance, je serais furax moi aussi car ce dont à besoin ce groupe, c'est de sérénité. On ne peut pas dire que la tonalité de la presse soit allée dans ce sens dernièrement. Qu'ils relaient les opinions des inquiets, c'est leur job bien sûr. Mais la fake news, non. Surtout quand celles-ci fragilisent le club dans son ensemble. Et on vient à se demander si on peut encore alors parler de neutralité de la presse, où s'il y a campagne de déstabilisation. Personnellement, je n'irai pas jusque là. Mais dire que la presse a mal fait son boulot, alors là oui, mille fois oui.
Concernant tes critiques sur Gourcuff qui ne sait pas gérer la communication, je suis d'accord, c'est une de ses lacunes et c'est vrai qu'il aurait dû peut-être s'adapter à l'époque qui veut ça. Mais personnellement, je lui suis aussi reconnaissant d'offrir un exemple de comportement humain normal dans la folie médiatique qui entoure le foot parfois. Se dire "ils se comportent comme des cons, mais faisons pareil pour avoir la paix", c'est tout de même pas non plus la meilleure des solutions. Et ça dépasse le cadre du foot.