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C’est la principale raison de notre incapacité à déstabiliser l’adversaire et de la prévisibilité de notre équipe. Pas de changement de rythme et pas de coordination offensive. Les circuits de passe sont téléphonés à des kilomètres et leurs acteurs beaucoup trop isolés, dans des rôles stéréotypés. La méforme des latéraux, qui n’apportent plus la zizanie dans le camp adverse, participe aussi au phénomène...wam a écrit :Beaucoup, pas forcément.
Déjà , comme le dit génésio, il faut des joueurs qui se sacrifie par des appels (si possible intéressants et crédibles) pour créer les espaces et de lacoordination là dedans.
Hors, en ce moment, il n'y a rien de ce côté là .
Donc, on peut continuer à faire tourner une partie du temps mais il faut qu'à un moment, il y ait du mouvement qui se déclenche pour éclater le bloc adverse.
Le tout est de trouver l'équilibre dans tout ça.
Le mal est profond, avec une charnière centrale qui pêche par sa lenteur et une relance approximative, ce qui oblige l’équipe à jouer bas...
Bref, il y a un sacré chantier...
