il a pas l'air fait pour le foot . Jeudi , les contrôles ......grosse lose , sait pas garder le ballon , sait pas quoi en faire.
Faudrait dire à Sabri de lire closer et les potins , si il s'est fait tej' jeudi ......
une Madjer sur une passe de Majer :daft:
"Il vient une heure où protester ne suffit plus ; après la philosophie, il faut l'action ; la vive force achève ce que l'idée a ébauché."
Victor Hugo
Léribo a écrit :Moi j’y étais et son maillot ne comportait même pas l’ombre d’une auréole de sueur sous les aisselles après le match . C’est dire !
MODE MÉNAGÈRE- ON
D'ailleurs les maillots de cette saison qui changent de couleur dès qu'un joueur transpire, c'est une innovation technologique de pointe ou juste une énième économie de tissu ?
MODE MÉNAGÈRE- OFF
Quand on est gouvernés par le mensonge et la violence on doit combattre et résister par tous les moyens.
une Madjer sur une passe de Majer :daft:
"Il vient une heure où protester ne suffit plus ; après la philosophie, il faut l'action ; la vive force achève ce que l'idée a ébauché."
Victor Hugo
une Madjer sur une passe de Majer :daft:
"Il vient une heure où protester ne suffit plus ; après la philosophie, il faut l'action ; la vive force achève ce que l'idée a ébauché."
Victor Hugo
On est vraiment obligé de le garder jusqu'en juin lui ? Il ne peut pas rentrer dés maintenant en Italie ? Franchement, il fait le nombre mais c'est tout. Prestation encore scandaleuse ce soir.
Dehors. Merci et au revoir.
Abys a écrit :On est vraiment obligé de le garder jusqu'en juin lui ? Il ne peut pas rentrer dés maintenant en Italie ? Franchement, il fait le nombre mais c'est tout. Prestation encore scandaleuse ce soir.
Dehors. Merci et au revoir.
Il perd le ballon lamentablement en fin de match sur une contre attaque qui aurait pu être très intéressante et choppe un carton jaune dans la foulée.
Une plaie !
une Madjer sur une passe de Majer :daft:
"Il vient une heure où protester ne suffit plus ; après la philosophie, il faut l'action ; la vive force achève ce que l'idée a ébauché."
Victor Hugo