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Je dirais même plus : un très regretté monsieur Hulot.coyote a écrit :Tryphon > Cte pondération, cte sagesse ! Quelle bonheur de te lire, c'est reposant. Une vraie camomille 2.0.
Droopy dirait presque "un monsieur Hulot bis"
Mr hulot d'a côté serait mort?Droopy2 a écrit :Je dirais même plus : un très regretté monsieur Hulot.coyote a écrit :Tryphon > Cte pondération, cte sagesse ! Quelle bonheur de te lire, c'est reposant. Une vraie camomille 2.0.
Droopy dirait presque "un monsieur Hulot bis"
Tu sais, à part avoir indiquer à un forumeur, selon ses dires, qu'il est un petit comptable de province qui regarde yann barthes, et à un autre qu'il manque d'empathie je me fais en revanche bien défoncer la gueule sur une soit disant santé mentale défectueuse, tu viens par exemple de me traiter de pitbull psychotique (je ne sais même plus si tu as déjà eu le plaisir de trouver d'autres images pour me caractériser).coyote a écrit :C'est ça aussi.Whitewaxinho a écrit :https://www.youtube.com/watch?v=q7cDQY9wVF8
Y'a même Coyote du coup...
Attention, chuis pas sûr que Le Pinardier accepte la comparaison.
TA GUEULE STALINE
J'en sais rien mais j'aime bien cette image de pitbull psychotique, surtout quand tu rajoutes cette histoire de poule ! Qu'est-ce que tu veux que je dise, c'est à ça que tu (vous) me faites penser, j'y peux rien.Le Pinardier a écrit :Tu sais, à part avoir indiquer à un forumeur, selon ses dires, qu'il est un petit comptable de province qui regarde Yann Barthes, et à un autre qu'il manque d'empathie je me fais en revanche bien défoncer la gueule sur une soit disant santé mentale défectueuse, tu viens par exemple de me traiter de pitbull psychotique (je ne sais même plus si tu as déjà eu le plaisir de trouver d'autres images pour me caractériser).
Pour savoir, je t'ai parlé avec ce genre de tonalité dans le passé ?
) c'est celle-ci :
Rimbaud écrivait : « On n'est pas sérieux quand on a 17 ans ». Le web a trente ans, Facebook en a quinze. Les choses sérieuses commencent.
Qu'a-t-il pu se passer pour que tourne au cauchemar un ensemble de technologies et d'usages initialement pensés par leurs concepteurs comme autant de promesses émancipatrices ?
Dans cet essai au style alerte et acide, Olivier Ertzscheid remonte le fil du désenchantement du monde numérique. Comment quelques méga-plateformes monopolisent notre attention et l'exploitent à leur seul profit ? Comment la société peut-elle réagir collectivement pour défendre un numérique de liberté et de partage ?
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