Cinéma cinéma Tchi Tcha

Ici, ça rigole PO !
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clarence oveur
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Re: Cinéma cinéma Tchi Tcha

Message par clarence oveur »

Dernier message de la page précédente :

ben franchement pas beaucoup non, mais là tu m'as déjà donné envie avec la grande guerre, pour ce qui est des films asiatiques, les plus anciens que j'ai vu doivent dater des années 80-90, mais ok je vais tester les 7 samourais.
J'en ai entendu que du bien, mais jamais eu le courage de le regarder car il fait quand même 3h30.
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fancasmor
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Re: Cinéma cinéma Tchi Tcha

Message par fancasmor »

C'est un chef d'œuvre de Kurosawa.

Trois heures.... Mais ça vaut le coup
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fancasmor
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Re: Cinéma cinéma Tchi Tcha

Message par fancasmor »

Pour la grande guerre je l'ai vu par le biais du cinéma de minuit....' mais j'ai dis une bêtise celui là a été tourné en 1960, désolé tu le trouvera facilement sur le net.

( Je suis vieux... :mrgreen: )

Et autre petit bijou film aussi italien la fille et le général.
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clarence oveur
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Re: Cinéma cinéma Tchi Tcha

Message par clarence oveur »

je retrouve plus le sujet sur les docus , donc je mets ca ici.

Après 3 jours de déconfinement, je me suis choppé une sciatique , donc je suis de nouveau confiné dans mon lit depuis jeudi, et du coup, je matte pas mal de docus sur mon portable et je suis tombé sur celui-ci fait par arte:

tous surveillés :

https://www.youtube.com/watch?v=8wN3emy ... e=youtu.be

Je dois avouer que je ne pensais pas que ca allait déjà aussi loin, l'histoire du crédit social en chine, les projets américains de drones totalement autonomes connectés à une base de données de reconnaissance faciale de cibles et qui attaque automatiquement si ca matche... L'histoire des ouighours aussi... Vache ca dépasse presque black mirror par moments.
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Tryphon
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Re: Cinéma cinéma Tchi Tcha

Message par Tryphon »

clarence oveur a écrit :je retrouve plus le sujet sur les docus , donc je mets ca ici.
Je crois que ça se trouve dans le forum des Épithètes...

Sinon oui, la surveillance des populations est devenu le chantier du siècle, on dirait. Charmant.
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Re: Cinéma cinéma Tchi Tcha

Message par Filouchelli 2.0 »

Hors normes, avec cassel et ketab, je recommande vivement !

Ils jouent très juste.
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Jones
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Re: Cinéma cinéma Tchi Tcha

Message par Jones »

À prévoir des films avec Piccoli programmés sur les chaînes classiques, y en a un paquet... Dans les vieilleries, perso j'ai un faible pour les films de Claude Sautet, Les choses de la vie et Vincent François Paul et les autres...
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Droopy2
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Re: Cinéma cinéma Tchi Tcha

Message par Droopy2 »

Idem. Et puis c'était un acteur de gauche. :mrgreen:
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Droopy2
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Re: Cinéma cinéma Tchi Tcha

Message par Droopy2 »

Pour rendre hommage à Dabadie, cette scène qui me rappelle bien des discussions familiales dans les 70.
Et Piccoli, cette colère. Génial.
https://www.google.lu/search?q=piccoli+ ... ent=safari
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Droopy2
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Re: Cinéma cinéma Tchi Tcha

Message par Droopy2 »

Formidable article de Seth Greenland, auteur et scénariste américain, exactement mon sentiment sur l'époque.
C'est long, mais si juste, si bon, ça fait un bien fou; pas de canard, ça fera plaisir à quelqu'un !
Vous avez probablement entendu parler du nouveau livre de Woody Allen, une autobiographie intitulée en français Soit dit en passant. Et peut-être savez-vous qu’Hachette s’apprêtait à le publier aux États-Unis, jusqu’à ce que des salariés décident qu’ils ne pourraient plus travailler pour une entreprise si moralement corrompue qu’elle pourrait soutenir le travail d’un personnage aussi dégénéré que cet ancien comédien de stand-up, donateur du Parti démocrate, et fils spirituel de Groucho Marx. Les Mémoires d’Albert Speer n’ont pas fait tant de raffut dans le milieu de l’édition new-yorkais. Faisant étalage d’une impressionnante sensibilité culturelle - ou d’absence de colonne vertébrale, ça dépend de la perspective - Hachette a instantanément capitulé et annulé le contrat peu avant la publication.

Pourquoi écrire sur Woody Allen? Parce que c’est un artiste d’une profonde originalité qui a été exclu de la culture américaine, au préjudice de quiconque se soucie de comédie, d’art ou de pensée critique. Dans la période actuelle, cela semble une très mauvaise idée.

Revenons en arrière: il y a quelques années, lorsque j’étais un adolescent à problèmes j’ai jeté un premier regard sur Playboy. Là, juste sous mes yeux, s’étalait la photo d’un très jeune comédien à lunettes entouré de femmes aux seins nus (imaginez mes yeux exorbités sur des ressorts). C’est ainsi que j’ai fait la connaissance de Woody Allen et qu’a commencé mon immersion dans l’esthétique patriarcale. Encore une fois, acceptez mes excuses: j’ai tenté de faire amende honorable. Au fil du temps j’ai découvert ses albums de jazz et je les ai aimés. Quand il a commencé à faire des films, je les ai trouvés tous hilarants.

Ensuite j’ai vu Annie Hall qui m’a procuré l’équivalent pour un laïc d’une expérience religieuse. C’est à ce moment que j’ai su que je deviendrais scénariste. Sa capacité à combiner l’intellectuel avec l’inculte, à saupoudrer d’une pincée de Sémite de Brooklyn (confession: ma mère était de Brooklyn) et à laisser infuser la concoction en ajoutant une touche d’improbable mélancolie, qui une fois ingérée allait directement au centre de plaisir de mon cerveau, tout cela a fait de moi un adepte, sinon un inconditionnel.

Banale misogynie

À mes débuts d’écrivain, son influence était grande. Pour beaucoup de ma génération qui travaillait dans des domaines créatifs, Woody Allen planait quelque part dans l’air au-dessus de tous. Il a fait le travail qu’il voulait, sans compromis, a remporté des prix et a continué à le faire. Il représentait le beau idéal de la vie artistique. Et comme si cela ne suffisait pas, il écrivait régulièrement dans le New Yorker. Il est presque impossible de dire la considération qui l’entourait. Le fait qu’il n’ait jamais eu un énorme succès populaire ne faisait qu’ajouter à son talent artistique.

Je rappelle tout ceci afin qu’on comprenne de quel pinacle il a chuté. Il serait utile de se souvenir pourquoi précisément on l’avait élevé si haut. Au moment où il est arrivé, la comédie américaine était la chasse gardée d’hommes qui racontaient, entourés de fumée de cigares, des blagues sur des sujets tels que leurs batailles épiques avec leurs belles-mères, ou à quel point leurs femmes étaient de mauvaises cuisinières, dans une saveur acceptée de banale misogynie. Woody Allen ne fut pas le premier à élever le discours comique, mais il fut le plus original. Il a pris le personnage du schmock (benêt), un type comique perfectionné par Bob Hope, auquel il a inoculé la sensibilité de Jean-Paul Sartre.

Quant aux accusations selon lesquelles il aurait agressé sa fille adoptive de 7 ans en 1993, des enquêtes rigoureuses dans le Connecticut et à New York ont déterminé que ce n’était pas le cas
Nous sommes tous d’accord pour dire que Woody Allen a fait de mauvaises choses. Nul besoin d’être familier avec l’évolution extrêmement complexe de la large couvée d’enfants naturels et adoptés de Mia Farrow pour conclure que la fuite avec l’un d’entre eux ne correspondait pas à la définition que quiconque se fait d’une bonne idée, même si Soon-Yi était déjà majeure à l’époque. Pourtant, Allen et elle sont maintenant dans leur troisième décennie de mariage et ont élevé leurs propres filles, donc son comportement, aussi aberrant qu’il ait pu apparaître (ou était; je ne suis pas ici pour discuter de ce sujet) n’a fait imploser le monde de qui que ce soit qui n’était pas directement impliqué dans les événements.

Ceci n’est pas un plaidoyer, mais le rappel de faits. Allen a été autorisé à se glisser sur une route secondaire de la culture jusqu’à ce que le train MeToo prenne de la vapeur, le renverse et le dépose dans la terre de «ceux qui ont été définitivement effacés» où il réside avec d’autres parias comme Bill Cosby et Harvey Weinstein (de vrais violeurs condamnés), un destin particulièrement immérité pour quelqu’un qui était contre la masculinité toxique avant que ça ne soit à la mode.

La colère persistante à l’égard de Woody Allen me rappelle la fiole d’huile des Maccabées dans l’antiquité romaine, qui ne s’arrêtait jamais de brûler. Peu importent les faits, l’idée persiste, c’est un sale type et si vous ne le voyez pas c’est qu’il y a quelque chose qui ne va pas chez vous. Il a complètement cessé d’être une personne et est devenu plutôt un avatar sur lequel un certain type d’individus «ouverts d’esprit» projette sa hargne envers le privilège blanc, le gouffre entre les classes, le patriarcat pourri jusqu’à la moelle, qui doit maintenant être démoli le plus rapidement possible et certainement avant que ce pervers soit autorisé à faire un autre film.

Carnage culturel

Compte tenu de la place glorieuse qu’il a occupée dans la culture américaine, Woody Allen est un trophée remarquable. Socialement parlant, le faire chuter, c’est comme mettre un grizzli en cage. Le message est: si sa tête peut tomber, tout le monde doit prendre garde. Et que ce carnage culturel ait été mis en œuvre par une génération dont les parents l’ont tant aimé confère à l’ensemble du drame une teinte étrangement œdipienne.

Mais voici le point le plus important: s’il ne s’agissait que de Woody Allen, je n’écrirais pas cet article. Il a terminé récemment un nouveau film (tourné en Espagne) et se porte bien à l’international. Ça ira pour lui. Le problème est qu’effacer son travail est dangereux pour les valeurs mêmes dont les Américains prétendent se soucier, et pas seulement esthétiques. C’est une attaque envers la pensée critique, et le prix à payer sera élevé. Prenez un moment pour regarder le paysage politique contemporain et vous verrez de quoi je parle.

Picasso était affreux ; lacérons ses tableaux. Rudyard Kipling, un colonialiste, mettons ses livres au pilon
Considérez ce que nous perdons lorsque quelqu’un comme Woody Allen est attaqué par des bataillons d’arbitres culturels autoproclamés qui se font l’écho d’un récit médiatique de plus en plus courant. Picasso était affreux ; lacérons ses tableaux. Rudyard Kipling, un colonialiste, mettons ses livres au pilon. La prochaine fois que vous vous retrouverez à penser à l’icône féministe Zelda Fitzgerald, rappelez-vous ses réflexions sur les Afro-Américaines. Hemingway, T.S. Eliot, Emil Nolde, Ezra Pound, Edith Wharton, Balthus, Knut Hamsun, Patricia Highsmith, Richard Wagner, Louis-Ferdinand Céline, Paul Cézanne, Auguste Renoir; qui que vous estimiez, vous trouverez probablement en eux quelque chose que vous n’aimerez pas. Or, quand nous choisissons volontairement de nous éloigner des œuvres de génie, quelque chose de fondamental est sacrifié.

Je veux plaider, tranquillement, conformément au bon goût, pour le retour de Woody Allen dans le corpus américain des grands humoristes et des cinéastes essentiels du XXe siècle, à égalité, certainement dans le domaine de la comédie, avec Chaplin et Keaton. Enseignez-le dans les universités, programmez ses films dans les festivals de son vivant. Mais quand j’imagine les protestations, tout ce que je vois, ce sont les visages renfrognés de ceux qui trouveront mon zèle au mieux ridicule, au pire suicidaire.

En réfléchissant à cette énigme, je me prends à penser à la Révolution française, qui a d’abord aiguisé la lame pour Louis XVI et Marie-Antoinette, puis pour Danton, et enfin pour Robespierre qui avait dirigé tout le spectacle et était probablement plus surpris que quiconque de ce rebondissement. On dit que la révolution dévore ses enfants. À ceux qui insultent Woody Allen, qui fulminent contre ses transgressions et abhorrent tout ce qu’il représente, je rappellerais qu’il en existe des milliers d’autres pour lesquels votre rage ne sera jamais assez pure. Et un jour, ils viendront pour vous. Peut-être pas avec une guillotine, mais la prochaine fois que vous vous retrouverez à vouloir exprimer une opinion et qu’au lieu de ça vous choisirez de tenir votre langue, vous saurez ce que je veux dire.

Voici mes réflexions sur Woody Allen. Bien sûr, je ne les publierai jamais. Quel genre d’idiot ferait ça?
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Tryphon
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Re: Cinéma cinéma Tchi Tcha

Message par Tryphon »

Bien. Très bien.
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Droopy2
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Re: Cinéma cinéma Tchi Tcha

Message par Droopy2 »

Le même (je conseille son dernier bouquin tournant autour du politiquement correct, de la bienpensance, « Mécanique de la chute »), d’une façon plus générale :

(...)Ainsi, même s’il y a encore beaucoup de chemin à parcourir, les choses ont évolué. Toutefois, cela n’est pas suffisant pour une certaine partie de la gauche qui estime que l’échelle des privilèges doit être inversée. Dans cette vision du monde, les groupes qui étaient auparavant marginalisés devraient maintenant être privilégiés et inversement. Comme la situation a été trop injuste pendant très longtemps, des gens de gauche bien intentionnés s’attellent à réparer toutes les inégalités en même temps, ce qui conduit à une sorte de période jacobine de rectitude morale (mais sans la guillotine), un concept familier aux lecteurs français.L’humour fait, à présent, l’objet d’une surveillance étroite. La police de l’humour est partout, ce qui tombe plutôt bien puisqu’un clown occupe la Maison-Blanche

Telle est la bataille qui se déroule en Amérique aujourd’hui. La gauche est perçue comme trop sensible et la droite comme ignorante et anhistorique. Ces deux manières de les présenter recèlent, chacune, une part de vérité. Pour un écrivain, ce contexte est troublant.

Alors que les jugements critiques émanaient autrefois de la seule droite, ils émergent aujourd’hui avec la même vigueur, voire avec plus de virulence, de la gauche qui, tout en prétendant abhorrer l’héritage de Staline, n’est que trop heureuse d’imiter son approche de la culture.

Aux États-Unis, existent désormais deux phénomènes: la call-out culture (culture de la dénonciation), qui signifie que si une personne fait une déclaration perçue comme une chose à ne pas dire, elle se fera lyncher sur Twitter, mais aussi la cancel culture (littéralement «culture de l’effacement»), une version encore plus acerbe de la call-out culture, dont le but est littéralement de ruiner la carrière de la personne en question. La situation est intenable et manque cruellement d’humour.
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Re: Cinéma cinéma Tchi Tcha

Message par bzhyoyo »

Analyse très juste du climat politique US, je trouve.
"For every complex problem there is an answer that is clear, simple, and wrong." - H.L. Mencken
«Tous ces gens qui nous ont chié dessus pendant des années, putain, mais prenez conscience de ça, qu’on est un putain de bon club.» Romain Danzé
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clarence oveur
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Re: Cinéma cinéma Tchi Tcha

Message par clarence oveur »

c’est effectivement peut être juste , mais je vois pas trop ce que ca vient foutre sur le sujet cinéma :)

La tribu des épithètes a été créée pour accueillir ce genre de sujets.

Du coup pour contrebalancer, je vais parler d'une chaine ciné youtube que je viens de découvrir et qui propose des analyses vraiment intéressantes.

https://www.youtube.com/channel/UC-IkiG ... OpqBHTIdrg
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Droopy2
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Re: Cinéma cinéma Tchi Tcha

Message par Droopy2 »

Ça a à voir avec la façon dont on traite Woody Allen, entre autres
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clarence oveur
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Re: Cinéma cinéma Tchi Tcha

Message par clarence oveur »

tain mais sérieux, j'aime bien woody allen mais tu fais une fixette là. Tu ne m'as pas l'air d'un cinéphile juste d'un mec qui fait une fixette sur woody allen. Ca me poserait pas de problème si tu contribuais parfois à nous faire découvrir des films et pas juste à venir ici nous parler exclusivement de ca. Genre on avait un débat hyper intéressant sur les bons films de guerre à faire découvrir, ben vas y que nous conseilles-tu?
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