Jérémy Gélin, départ prévu en 2022

Où l'on parle essentiellement du SRFC
Alain Houat-Quebard
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Re: Jérémy Gélin, retour prévu en 2022

Message par Alain Houat-Quebard »

Dernier message de la page précédente :

Kim Jongle Oune a écrit :
14 avr. 2022 12:48
Blaz, un grand nom du stade rennais.

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Kim Jongle Oune
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Re: Jérémy Gélin, retour prévu en 2022

Message par Kim Jongle Oune »

La beu-bar de ouf !
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Shala
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Re: Jérémy Gélin, retour prévu en 2022

Message par Shala »

Une barbe quoi :jfc:
Certes les coréens sont peu barbus…
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bzhyoyo
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Re: Jérémy Gélin, retour prévu en 2022

Message par bzhyoyo »

Jérémy Gélin se remet tranquilou au foot :
https://twitter.com/staderennais/status ... 7361964037
"For every complex problem there is an answer that is clear, simple, and wrong." - H.L. Mencken
«Tous ces gens qui nous ont chié dessus pendant des années, putain, mais prenez conscience de ça, qu’on est un putain de bon club.» Romain Danzé
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goupil
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Re: Jérémy Gélin, retour prévu en 2022

Message par goupil »

Il ne reviendra finalement pas. Il quitte le club à l'issue de cette saison.
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Barnard
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Re: Jérémy Gélin, retour prévu en 2022

Message par Barnard »

C’est un petit peu triste quand mème.
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jean ramone
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Re: Jérémy Gélin, retour prévu en 2022

Message par jean ramone »

Impossible de lui promettre autre chose que d'être dans la rotation
Et il pense sans doute avoir perdu trop de temps
Hey ho let's go !
Barnard
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Re: Jérémy Gélin, retour prévu en 2022

Message par Barnard »

Il va beaucoup apprendre humainement de cette dernière année. Qu’il aille se refaire la cerise tranquillement en Ligue 2 ou dans un club / championnat de seconde zone à l’étranger, je suis absolument certain qu’on le reverra un jour à un bon niveau en Ligue 1.
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Léribo
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Re: Jérémy Gélin, retour prévu en 2022

Message par Léribo »

Barnard a écrit :
26 mai 2022 13:35
Il va beaucoup apprendre humainement de cette dernière année. Qu’il aille se refaire la cerise tranquillement en Ligue 2 ou dans un club / championnat de seconde zone à l’étranger, je suis absolument certain qu’on le reverra un jour à un bon niveau en Ligue 1.
Son départ ne va pas trop nous affecter car quand Gélin, j’ai l’autre.
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jean ramone
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Re: Jérémy Gélin, retour prévu en 2022

Message par jean ramone »

Ah ah
Hey ho let's go !
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ArtiShow
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Re: Jérémy Gélin, départ prévu en 2022

Message par ArtiShow »

Un abonné OF aurait la totalité de l’article ?
Futur vainqueur des Prostiks 23/24 !!!
CCCCCECCECCECCECCECCECCFCFCCFCECECFCCCCFCCCCCCC
C : Championnat
E : Europa League
F : Coupe de France
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Droopy2
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Re: Jérémy Gélin, départ prévu en 2022

Message par Droopy2 »

C’est une page d’histoire pour Jérémy Gélin qui se ferme en cette fin mai. Le défenseur de 25 ans quitte le Stade Rennais après dix ans passés au club : à la formation, d’abord, puis en équipe première avec de grands moments. On pense à la première qualification européenne de la série de cinq actuelle, l’épopée de 2019…
Jérémy Gélin était le joueur présent au club depuis le plus longtemps. Après 86 matches joués en équipe première, il va tenter de relancer sa carrière, qui a pris un sacré coup le 9 juillet dernier : alors qu’il préparait les Jeux olympiques de Tokyo avec les Bleuets, il avait été victime d’une rupture des ligaments croisés du genou gauche et touché au ménisque. Le Breton se confie sur Rennes, le Stade Rennais, sa blessure, sa vie, son avenir. Un entretien sans filtre.

Au moment de quitter le Stade Rennais après dix ans, quel est votre état d’esprit ?
-Ça fait dix ans, c’est un chiffre rond, je suis arrivé à quinze ans, je repars à vingt-cinq. C’est une belle histoire, j’aurais aimé qu’elle se termine différemment, voire qu’elle ne se termine jamais (rires)… J’aurais aimé me battre pour le maillot au moins une dernière fois, sur le terrain, ça aurait été une bonne fin. En tout cas, c’est difficile de se dire qu’il va falloir changer de projet, de club. En dix ans, tu croises du monde, toujours les mêmes têtes, les mêmes personnes avec qui tu crées des canards. Et chaque année, les canards sont de plus en plus forts. J’espère avoir accompli de belles choses et montré une belle image de la personne que je suis. Les dix ans symboliques, j’en suis fier.

Que représentent la ville et le club pour vous ?
-Rennes, c’est la ville qui m’a accueilli quand j’étais adolescent. J’ai appris à la découvrir au centre de formation. Tu commences par les petites sorties la semaine, le mercredi après-midi, comme un gosse. Et tu la découvres parce que tu crées des amitiés avec des gens d’ici. Cette ville, je l’adore, j’y ai rencontré ma femme en plus. Et sur le club, je n’ai pas grand-chose à leur dire à part merci. Ils m’ont tout donné, une chance d’évoluer en jeunes. Je suis arrivé à quinze ans. À l’époque, jouer pour un club professionnel, c’était le rêve. Je les remercie d’avoir cru en moi, de m’avoir permis d’accéder au monde professionnel.

Le centre de formation, quels souvenirs en gardez-vous ?
-On avait une génération vraiment talentueuse. Il y avait des noms comme Ousmane Dembélé, Denis-Will Poha, Romain Cagnon. Je n’en garde que des bons souvenirs, des conneries qu’on a faites… Je ne vais pas les raconter parce que… Voilà quoi (rires) ! J’aimerais revenir dix ans en arrière, parce que ce sont les meilleures années. Tu es en préparation pour le monde pro, malgré que le bac à préparer rende la tâche difficile, tu gardes d’énormes souvenirs, tu grandis avec ces gens-là. Si je suis comme je suis aujourd’hui, c’est grâce à Rennes.

Vous rentrez dans le onze de départ à la 13e journée de la saison 2017-2018 et n’en sortez plus. L’équipe finit la saison européenne et, à 20 ans, vous formez une paire jeune et talentueuse avec Joris Gnagnon.
-Je m’en souviens bien (sourire) ! Joris m’a envoyé un message hier soir (l’interview a eu lieu lundi 24) pour me dire « Bon vent ». Quand tu reçois ces messages, tu retraces le chemin parcouru. En partant, j’ai croisé Mathys Tel, Lorenz (Assignon). Je leur ai dit « Profitez les gars, parce que ça passe tellement vite ». Quand tu joues, que tout se passe bien et qu’à la fin tu te qualifies pour la Coupe d’Europe, tu es un peu con et tu ne réalises pas. Tu ne profites pas assez du moment. Alors que c’est extraordinaire ! Ces années-là, c’est le lancement de ma carrière, ce qui m’a permis de me faire connaître et des choses que, je l’espère, les gens garderont dans leur tête. Et peut-être qu’un jour on reformera cette charnière avec Joris (rires).

Cette saison-là, vous décrochez l’Europe à Paris. Vous êtes à la passe décisive pour Adrien Hunou, sur ce but iconique.
-C’était l’avant-dernier match avant de jouer Montpellier à domicile. C’est là où le foot a vraiment pris une ampleur différente dans la ville. Le club et la ville sont devenus un couple à partir de là. Il n’y a qu’à regarder dans les rues, les jours de match, on voit des maillots rouge et noir partout, des écharpes. Quand j’étais au centre de formation, ce n’était pas comme ça. Les résultats de l’équipe ont monté le club tout là-haut dans la ville. C’est beau de voir et de vivre ça pour nous les joueurs.

Vous avez connu des hauts et des bas par la suite, pour jouer 86 matches au final en rouge et noir.
-Oui, 86 matches, il en manque 14 pour atteindre la barre symbolique des 100 matches avec mon club formateur. C’est quelque chose que j’aurais voulu avoir. Parfois, il y a eu des manques, des moments plus compliqués parce que j’ai moins joué, ou les aléas d’un mercato, d’un changement de coach. Ça fait partie du foot. Le seul regret que j’ai, c’est cette barre des 100 matches. Mais ça a fait mon histoire aussi. Et puis, cet objectif reste encore dans un coin de ma tête (sourire).

Vous avez été catalogué, à tort, comme un joueur qui ne pouvait évoluer que dans une défense à cinq. Cela vous a-t-il desservi ?
-On est dans un monde où les dires sont parfois plus forts que les faits… Au centre de formation, ça a longtemps été un sujet : au milieu ou derrière. Et puis, on sait comment ça fonctionne. Tu dépannes une fois en défense parce qu’il y a un blessé, et puis un joueur est plus performant au milieu, le blessé revient et tu as le cul entre deux chaises… Il fallait faire un choix, je me suis positionné sur la défense, je suis un défenseur. Et après, les systèmes, on peut blablater beaucoup sur ça, mais j’ai prouvé que j’étais aussi à l’aise à quatre qu’à trois.

Avec Hamari Traoré et Benjamin Bourigeaud, vous étiez l’un des trois derniers rescapés de l’épopée 2019. Cela reste vos meilleurs souvenirs, encore aujourd’hui ?
-Dans le monde pro, oui ! J’aurais aimé jouer en finale de Coupe de France, mais ce qu’il s’est passé, que tu joues ou pas, c’est incroyable ! La ville… On était place de la mairie, c’était « Où est Charlie » ! On ne voyait pas un bout de pavé tellement il y avait du monde partout. Les déplacements européens, le Betis, Arsenal… Même la phase de poules contre Astana, Jablonec, Kiev… On mettait quinze ans à aller au stade parce que tout le monde s’était donné rendez-vous le jeudi. C’est mon premier titre pro, aussi, la Coupe de France. Et puis dans l’engouement… Rennes n’avait plus l’habitude de jouer des équipes de ce niveau. On s’est ouvert à l’Europe, à tellement de choses. Quel kiffe !

Vous n’êtes pas rentré en finale de Coupe de France, mais vous jouez les deux premiers matches face à Brest et Saint-Pryvé, vous entrez à Lyon en demie…
-Oui mais la finale, ça reste le top ! Mais oui, j’ai joué les matches d’avant, c’est un parcours collectif. Tu ne gagnes pas de titre sans un groupe soudé. On a tissé des canards parce qu’on a vécu des choses incroyables. Bourige, je le vois encore arriver au club… C’est dingue quand tu vois ce qu’il est devenu, la personne et l’image qu’il a aux yeux de tout le monde. Ces gens-là, Bourige, Hamari, méritent beaucoup de choses parce qu’ils n’ont jamais triché, ont toujours été présents pour le club. Des relations d’amitié plus plus, on en a créé pas mal.
À Séville, vous aviez fait des tours de stade après le match, en plongeant à chaque passage devant le parcage rennais…
Oui, je regardais des vidéos récemment ! On rigolait ! Les supporters étaient vraiment tout en haut du stade, c’était cool. Ce match, c’était le début d’un nouveau truc. Je ne sais pas pourquoi, mais je l’ai senti comme ça. Le président avait dit à tous les salariés : « Aujourd’hui, c’est match. Point. Ceux qui veulent venir, vous venez ». Il avait tout mis en œuvre pour les faire kiffer. C’est là où le club a basculé dans autre chose, que tout le monde s’est dit qu’on voulait revivre ça chaque saison. Les supporters aussi nous ont amenés à ça, parce qu’ils avaient soif d’émotions.

Ce 9 juillet 2021 à Clairefontaine, lorsque vous vous blessez gravement, vous l’avez repassé en boucle dans votre tête ?
-Je n’ai pas mis beaucoup de temps à évacuer, bizarrement, alors que ça a été ma première grosse blessure. L’équipe partait pour la Corée, avant les Jeux olympiques. Une heure avant le départ, je me blesse… Je retourne aux vestiaires, on me dit qu’il faut vite aller passer une IRM. Dans la voiture, je n’étais pas bien. Je me dis : « Qu’est-ce qui m’arrive ? Qu’est-ce que j’ai fait ? » C’est compliqué parce que tu es tout seul. On peut te parler, mais c’est ton corps qui a lâché, ton ligament qui a pété… Tu fais le tour de la blessure, de ce qui va se passer… Tu te dis : « Je suis dans la merde ». Mais il reste toujours de l’espoir de se dire : « C’est peut-être une entorse ». Et une fois l’IRM passé, on prend la voiture pour retourner à Clairefontaine et là le kiné me le dit : « Ce sont les croisés, le ménisque est également touché. Je suis désolé de te l’apprendre comme ça, mais il va falloir être fort, ça va être une période compliquée… » Ce sont des phrases bateau, mais qui sont aussi la réalité des choses.
Le coach Ripoll avait attendu à Clairefontaine, pour me prendre dans ses bras et me dire qu’il était désolé. C’est pour cela que ma relation avec ce coach sera éternelle. Ça m’a touché de voir que c’était compliqué pour lui aussi. Au final, ce sont les kinés du centre médical de Clairefontaine qui ont pris le relais. Ils m’ont dit que je pouvais revenir quand je voulais.
Après, on commande un van pour faire rentrer à la maison. Et là, je reçois des appels : ma femme, mes amis, le coach Ripoll, Flo Maurice, le coach Genesio… Sur la route, ça m’a fait du bien d’être seul. Je ne suis pas très communicatif sur mes sentiments, ça a du mal à sortir ces choses-là. Pendant 2 h 30, j’ai fait le tour de la blessure. Je me suis dit : « Tu vas arriver à la maison, ça va être dur, les larmes vont couler, c’est normal ». Je m’exprime tout ce que j’ai à me dire : « Tu t’es blessé, c’est comme ça. Passe le cap. » Je m’étais dit que plus vite j’allais basculer mentalement, plus vite j’allais me mettre au travail pour revenir plus fort. C’est ce qui s’est passé. Chaque semaine, chaque mois, j’avais un objectif différent : dégonfler le genou, plier le genou… Dans ce van, j’ai gribouillé un peu cette blessure.

Cela arrive alors que vous êtes en fin de contrat l’année suivante. Vous y pensez ?
-C’est ce que je viens de dire, mais sans le dire (sourire)… Dans le van, je pense à ça, bien sûr. Parce que je ne suis pas bête. À la fin de l’année 2022, je sais que je n’ai plus de contrat. Que je n’aurai plus rien. Il faudra travailler, être opérationnel impérativement à 110 %. Je remue le couteau dans la plaie, mais c’est normal, je pose la situation. Les croisés plus deux ménisques, c’est neuf mois minimum. Je sais que j’ai neuf mois pour être prêt pour la saison prochaine. Ça donne des hauts et des bas, il y a toujours des petits contrecoups où tu te dis : « Putain, je ne vais jamais m’en sortir ». Je passe par plein d’états. Je voulais rejouer avant la fin de saison pour envoyer de bons signaux aux personnes qui pourraient me vouloir dans leur club. Dire que je suis opérationnel, qu’il y a une petite croix verte à côté de tout.

Vous êtes devenu papa, aussi, dans cette période.
-Quelle force ! C’est ce qui m’a le plus aidé à garder le cap. Parce que je deviens papa, j’ai des responsabilités fortes sur ma famille. Si je n’ai plus rien, je ne suis plus tout seul. Ils ont eu un rôle primordial, presque plus que moi. Quand moi ça ne va pas, ce n’est que moi, mais quelqu’un doit te repêcher, te sécher, te mettre un coup de pied au cul et t’aider à repartir… C’est le rôle qu’a eu ma femme pendant ces mois compliqués. Elle a su me dire les choses, m’aider à m’accrocher. Ce n’est pas que je lâchais parfois… Mais dans le déroulement de la reprise, c’est long, c’est barbant, tu ne vois pas le bout… Le genou n’évolue pas… Mais petit à petit, j’ai repris confiance grâce à mes proches, ma femme. Et derrière, une fois que tu retrouves le terrain, c’est un bonheur… Les premiers entraînements, les premières passes… Le coach venait me dire : « Allez souris, c’est bon ! » Et je me dis : « ciao les kinés, c’est reparti ! » J’ai eu une relation incroyable avec eux. Hier soir (la semaine dernière), je leur ai envoyé un message pour leur dire que l’objectif, ce n’était pas de prendre leur place la saison prochaine mais de trouver un club (rires). J’ai trouvé de vrais potes en eux, on a créé des canards que tu ne tisses pas quand tu joues. Les relations se sont intensifiées. Quant à moi, j’ai appris à me connaître dans la difficulté.

Vous vous sentez plus fort aujourd’hui ?
-Oui, ma jambe gauche, je la sens plus forte que ma jambe droite. C’est souvent ce qui arrive quand on a une blessure sur un côté. J’ai travaillé plus fort à gauche pour rééquilibrer les deux côtés. Je me sens bien physiquement, je n’ai aucune gêne dans mon genou. Il faut juste mettre un peu d’huile de temps en temps (rires) !

Quel est votre objectif, votre avenir aujourd’hui ? La Ligue 1 ? La Ligue 2 ?
-J’envisage de trouver un club qui croit en moi. Qui m’apporte du temps de jeu, du football. J’ai besoin de ça, de ballon, de performance. J’ai besoin de retrouver un rythme de footballeur, de me dire que tous les week-ends, je dois jouer. Que je dois préparer un match, me fixer des objectifs en début de semaine. En moi, j’ai envie de trouver un club de Ligue 1, c’est mon objectif. Mais la vie est comme elle est, j’aurai ce que je mérite. La période d’un joueur libre n’est pas facile, parce qu’il y a le stress d’être sans contrat, libre, un peu trop libre même (rires) ! Il faut être fort par rapport à ça, mais après ces dix mois où j’ai été fort, ça devrait être un peu plus facile. J’espère que l’avenir sera beau.
“La vie est une tragédie pour celui qui sent et une comédie pour celui qui pense.”
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Re: Jérémy Gélin, départ prévu en 2022

Message par LLWW »

Une fois de plus, la direction ne m'a pas écouté et a totalement ignoré le 1er message de ce sujet.
Je suis dans l'incompréhension la plus totale.

Salut Jérémy, tu dois être moins bon que Badé. :r2d2:
Ce post n'appelle pas de réponse.
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Re: Jérémy Gélin, départ prévu en 2022

Message par Shala »

Gélinpression qu’on ne le reverra plus
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RennesMan
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Re: Jérémy Gélin, départ prévu en 2022

Message par RennesMan »

LLWW a écrit :
01 juin 2022 06:42
Une fois de plus, la direction ne m'a pas écouté et a totalement ignoré le 1er message de ce sujet.
Je suis dans l'incompréhension la plus totale.

Salut Jérémy, tu dois être moins bon que Badé. :r2d2:
Merci Droopy pour l’article :good1:

Entièrement d’accord avec toi d’autant plus qu’il va falloir recruter 2 défenseurs centraux voire 3 si Aguerd part. Et comme toi, je bien plus rassuré par Gélin que par Badé. J’avoue ne plus y croire d’autant plus qu’il veut retourner à Lens depuis cet hivers.
Je ne comprends vraiment pas qu’on n’est pas prolongé ce joueur talentueux et si attaché au club et à la ville. Un pur beurre de chez nous. Quel dommage :zero:
"Au plaisir breton", la meilleure des galettes saucisses au stade rennais
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Tryphon
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Re: Jérémy Gélin, départ prévu en 2022

Message par Tryphon »

Sa blessure, peut-être ?
"Un peu plus à l'Ouest..."
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