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Ce soir je serai là si ça vous intéresse. Comme la dernière fois je n'aurai pas grand chose à direStade Rennais - Toulouse FC. Et oui, après Auxerre, ils pouvaient faire pire…
Battus à domicile ce dimanche 10 novembre à l’occasion de la 11e journée de Ligue 1 (0-2), les joueurs du Stade Rennais ont une nouvelle fois été très inquiétants. Ils sont plongés dans une crise profonde.
Ouest-France Nicolas MANGEARD.
Publié le 10/11/2024 à 21h07
On peut leur accorder cela : à chaque fois qu’on pense qu’ils ont touché le fond, les Rennais continuent de creuser un peu plus de façon collective. La tête baissée, les yeux emplis de poussière et l’énergie qui commence à manquer.
Cette équipe est la pire que le Stade Rennais a vu passer depuis des années, et ce n’est que la finalité d’une succession de mauvaises décisions dont on parlait ce dimanche dans nos éditions. Une statistique résume tout : 11 points après 11 journées, c’est le deuxième plus faible total de points du SRFC au 21e siècle derrière la saison 2002-2003 (8).
La prestation des Rouge et Noir hier, avec un coach intérimaire Sébastien Tambouret et sous les yeux du futur entraîneur Jorge Sampaoli, est à ranger en bonne place dans les bouillies de football depuis le début de saison. L’enchaînement Brest (1-1), Le Havre (1-0), Auxerre (4-0) et Toulouse (0-2) relève presque du surréaliste. Et en plus d’avoir acté la fin de l’ère Julien Stéphan, il a confirmé que le travail était immense pour le futur staff, avec certainement des ajustements nécessaires au mercato d’hiver.
Une équipe sans vie
Pour relever la tête après la claque auxerroise, Rennes s’est présenté avec seulement deux recrues dans le onze de départ (Kamara, Jota), six sur le banc et deux autres même pas dans le groupe (James et Meister). « Ce onze a été fait avec la certitude que c’était celui-là qui allait aller chercher les choses. L’histoire des recrues n’est pas rentrée en ligne de compte », a dit Tambouret après le match, qui a aussi reconnu s’être appuyé sur des joueurs qu’il connaissait.
Certes. Mais l’intégration des recrues est insuffisante. Et qu’elle soit liée à leur niveau et donc aux choix discutables de Frederic Massara ou à une responsabilité de l’ancien staff, il est évident que le Stade Rennais ne peut pas s’en sortir avec cet effectif à son niveau actuel.
Jusqu’ici, les Bretons avaient pris des points grâce à un parcours à domicile quasi sans faute (trois succès, un nul et une défaite avant Toulouse). Cette fois, leur avantage de jouer au Roazhon Park a volé en éclat en vingt minutes. Le temps pour le Téfécé de réaliser un modèle de situation travaillée à l’entraînement : une touche jouée rapidement côté droit dans le dos de Truffert, une passe et un but de King seul face à la cage (14’). Et que dire du second but, inscrit au bout d’une contre-attaque parfaitement menée, le tir de Donnum trouvant la tête et le torse de Santamaria, puis le ventre de Truffert avant de finir sa course au fond des filets (23’)…
De quoi franchement être découragé. « On a manqué d’orgueil, de courage, de solidarité, de tout, a ajouté Tambouret. Il y a sûrement eu un manque d’intensité dans tout ce qu’on a fait et un manque de concentration. Prendre un but comme on le prend sur le premier, c’est interdit. On s’est mis dedans tout seul. »
À force de regarder une équipe sans vie (un tir seul tir cadré, le plus faible total à domicile depuis trois ans !), le public se lasse et l’on a assisté à des scènes uniques dans l’histoire récente du SRFC. La 35e minute sifflée copieusement au lieu d’être célébrée. Un kop qui range son matériel dans la tribune en plein match avant de quitter le stade d’un seul homme à la 86e minute.
Un message teinté d’indifférence et qui en dit long sur l’état d’esprit autour du club actuellement. Le capitaine Steve Mandanda (béquille) a été remplacé à la pause par Gauthier Gallon dans un désintérêt le plus total. La crise est profonde et le Stade Rennais ne se raccroche qu’à un seul espoir désormais, celui de son « sauveur » Jorge Sampaoli. Un entraîneur de caractère oui, malheureusement pas un magicien.
Stade Rennais - Toulouse FC. Un collectif en totale déliquescence, les notes des Rouge et Noir
Le Stade Rennais a présenté encore un visage effroyable ce dimanche 10 novembre contre Toulouse (0-2), cette fois devant un public du Roazhon Park qui en a marre. Jorge Sampaoli, le futur coach annoncé qui était dans les tribunes, a dû être assez affligé par le « spectacle » auquel il a assisté.
Ouest-France Guillaume LAINÉ.
Publié le 10/11/2024 à 19h05
Le Stade Rennais s’est liquéfié une deuxième fois d’affilée après le 0-4 à Auxerre, affichant un niveau général effroyable, avec un mental indigne de la L1.
Devant un public médusé par tant de médiocrité, qui a fini par jeter l’éponge, le SRFC a continué de creuser avant l’arrivée à finaliser de Jorge Sampaoli, qui était dans les tribunes. Le coach argentin a pu mesurer l’ampleur du chantier…
MANDANDA (3/10) : des sorties pas assurées ou hésitantes, un capitaine perdu lui aussi, avec un événement « exceptionnel » : sorti à la mi-temps après avoir reçu une béquille, symbole aussi d’un mal-être. Remplacé par GALLON (5), guère sollicité, ce qui lui suffit pour obtenir la meilleure note rennaise du jour.
ASSIGNON (2) : il avait été relancé par Tambouret comme latéral droit, mais n’a pas échappé au match maladif de l’équipe, brouillon offensivement malgré un tir à côté (28’), régulièrement pris dans son dos défensivement. Volontaire mais encore bien approximatif après la pause. Un flop parmi tant d’autres. Remplacé par HATEBOER (79’).
Wooh, Kamara ou Santamaria en plein cauchemar
WOOH (2) : la petite surprise de la compo, car Faye était pressenti à sa place, et le résultat n’a pas donné une bonne surprise… Déjà très inquiétant à Auxerre, le Camerounais, axial droit, a été catastrophique quand ça comptait encore. La charnière est à l’arrêt sur le premier but toulousain de King (15’), puis il est totalement dépassé au départ de l’action du deuxième (23’). Il a mieux tenu en deuxième période, mais le TFC ne prenait plus de risque.
SEIDU (3) : pour la première fois depuis son arrivée à Rennes, le couteau suisse a évolué en axial dans une défense à quatre, côté gauche. Et cela a été une galère, malgré son engagement et le plus grand nombre de ballons récupérés au SRFC.
TRUFFERT (2) : bien trop naïf et passif sur une touche joué dans son dos, il est fautif sur l’ouverture de score du TFC. Jamais dans le bon tempo ou presque, sur ses montées, malgré quelques échanges avec Jota.
SANTAMARIA (2) : de nouveau titulaire, l’un des derniers « cadres » historiques de ce SRFC bouleversé s’est surtout distingué sur un csc risible (poitrine puis menton) qui a permis le break toulousain. Il a semblé lui aussi gangrené par le doute, commettant des fautes techniques ou des erreurs de jugement parfois incroyables. Capitaine en deuxième période, il a vécu une fin d’après-midi de souffrance.
KAMARA (2) : renvoyé au feu après une prestation effroyable à Auxerre, le Finlandais n’a pas été meilleur, hésitant, trop limité techniquement, pas créatif, dans un milieu noyé. Remplacé par MATUSIWA (61’), neutre.
Jota, seule (toute petite) éclaircie
BLAS (3) : décalé à droite du 4-2-3-1, l’ex Nantais a commis pas mal de fautes, en retard ou dominé dans les duels à l’image de toute son équipe, manquant de spontanéité et de vitesse dans ses choix balle au pied. Marque un but annulé pour hors-jeu (51’), s’est battu et a tenté malgré tout en seconde période.
GOUIRI (3) : relancé lui aussi suite au départ de Stéphan, avec lequel ses relations s’étaient sérieusement refroidies, l’Algérien a évolué comme numéro 10. Il a existé sur quelques (très) rares séquences techniques, mais a loupé complètement sa tête en position idéale (65’) et a globalement manqué d’engagement.
JOTA (4) : positionné côté gauche, le Portugais a été le seul à surnager légèrement, en osant des choses et en montrant une capacité technique qui n’est pas partagée dans cette équipe. Cela n’a pas volé très haut non plus, mais dans le marasme général… Remplacé à la 79’ par MEITE, la première du minot de 17 ans, néo-pro, en Ligue 1, que l’on n’a pas vu.
KALIMUENDO (2) : l’international espoir a de nouveau sérieusement patiné en pointe, bien trop brouillon et mal inspiré sur les rares ballons (16) qui sont remontés jusqu’à lui. Triste. Remplacé par GRONBAEK (61’), visible… sur une frappe hors cadre (85’).
Un indice?
Alerte footix !Stade Rennais F.C.
𝐎𝐮𝐯𝐞𝐫𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐛𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭𝐭𝐞𝐫𝐢𝐞
17e journée de Ligue 1 McDonald's, réception de l'Olympique de Marseille : la billetterie est ouverte pour encourager les Rouge et Noir au Roazhon Park.
→ https://billetterie.staderennais.com/
Stade Rennais F.C.
Derby au Roazhon Park, ouverture de la billetterie pour la réception du Stade Brestois
𝑨𝒗𝒆𝒄 𝒍𝒆𝒔 𝑹𝒐𝒖𝒈𝒆 𝒆𝒕 𝑵𝒐𝒊𝒓 🫵
→ https://billetterie2.staderennais.com/s ... 9227286495
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