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Moi aussi des matchs à 2 000 spectateurs face à Abbeville, Gueugnon ou Quimper, j'ai donné. Ça ne empêche pas d'être lucide sur la situation. Bien au contraire. Balthazar, Stopyra Bonsink... ça te parle ? On sait comment ça s'est toujours fini...Dinky a écrit : ↑19 janv. 2025 13:07Pour ceux qui n'ont pas connu le stade en L2, rassurez vous on ne tombe pas forcément en dépression, cela vous fait comprendre le bonheur qu'on a eu depuis si longtemps en L1, y' en a peut être qui ne l'ont pas assez apprécié, merci M.Pinault, pour ma part je pense que l'on va s'en sortir, mais c'est là qu'on voit les supporters authentiques qui ne sont pas forcément des braillards qui insulte les joueurs de leur soit disant équipe.
J'ai joué contre lui lorsqu'il jouait à l'USSC Redon, et avec lui en équipe d'Ille et Vilaine & de l'Ouest lorsque cela existait encore (je crois que l'équipe de l'Ouest est ressuscité récemment)
Stade Rennais. Trois raisons de croire au rebond du moribond
Puisque broyer du noir et se morfondre sur la mécanique infernale qui a précipité la chute du Stade Rennais finissent à la longue par nous user, Ouest-France a voulu imaginer comment la vie des Rouge et Noir pourrait redevenir (un peu) plus rose dans un proche avenir. Voici trois raisons d’espérer un rebond du SRFC, devenu barragiste de Ligue 1 à l’issue de la 19e journée de championnat.
Ouest-France Guillaume LAINÉ.
Le Stade Rennais dans la zone rouge de la L1 à ce stade d’une saison, c’est du quasi inédit au XXIe siècle. Du jamais vu depuis 2002. En regardant évoluer actuellement cette équipe, et ce coach, il faut se forcer pour ne pas être inquiet.
Tout est gris, venteux, inondé sur Rennes : cela fait déjà trois raisons suffisantes pour se donner le courage d’aller chercher le soleil là où il pourrait encore apparaître, et de croire encore en l’avenir. Un effort de lecture à consommer sans modération par les temps qui courent.
Parce qu’il reste quinze matches
Sur 34 journées, ça fait beaucoup d’occasions, quand même, pour s’éloigner un peu du ridicule. Rennes vient de suffoquer à des altitudes trop élevées en janvier (Nice, Marseille, Monaco, passons sur Brest).
Mais février arrive avec Strasbourg, dimanche 2 (certes, pas du tout un cadeau en ce moment) au Roazhon Park, avant Saint-Etienne (ce sera chaud), puis Lille, Reims et Montpellier le 2 mars… On saura alors si Rennes est condamné à rester parmi les cancres, ou s’il peut encore vivre un printemps exaltant dans le ventre mou de la Ligue 1.
Parce que le mercato
Le Stade Rennais a de l’argent, et on a vu à quel point il l’avait gaspillé l’été dernier, au cours d’un mercato catastrophique qui pourrait précipiter le départ anticipé du directeur sportif Frederic Massara.
Le Stade Rennais a toujours de l’argent, et un peu paniqué par sa situation sportive, essaye maintenant de corriger ce qui peut encore l’être, pressé aussi par Jorge Sampaoli.
Le SRFC a embauché Fofana, qui, même à 70 %, est déjà meilleur que la plupart, un bon gardien même si son démarrage est difficile, et on verra pour Furuhashi, profil d’attaquant de rupture que l’équipe n’avait pas.
Si la direction se montre un peu inspirée sur les trois ou quatre dernières recrues (surtout derrière) qu’elle attend d’ici la fin du mercato d’hiver lundi 3 février, le rendement de l’équipe va forcément s’améliorer. Même si, malgré l’urgence, il faudra probablement encore un temps d’adaptation…
Changer énormément et tout le temps a un prix qui peut se payer très cher, le club le constate depuis un an. Mais là, il n’a plus le choix de toute façon.
Parce que Fofana est sorti du gué
Samedi dernier à Monaco, la sortie médiatique sans concession de l’ancien capitaine de Lens, qui devrait l’être aussi à Rennes, a secoué les ego des uns et des autres, du coach aux coéquipiers.
On peut voir le discours de Seko Fofana comme un désaveu pour un Jorge Sampaoli fragilisé, susceptible de faire monter les flammes, avec le staff et dans un vestiaire qui n’était déjà pas bien costaud.
Mais là, on a surtout envie de se dire que ce coup de pied sera salutaire pour réveiller des âmes endormies, pour se dire enfin les choses entre joueurs et avec le staff. Ces choses qui pourraient aider à susciter les changements indispensables dans l’attitude comme dans l’approche stratégique sur le terrain.
On ne veut pas considérer la sortie de Fofana comme un acte égoïste qui fracture. On veut le voir comme un appel à la conscience de chacun, qui mobilise.
Rennes a besoin d’être bousculé, entraîné, et surtout de joueurs concernés, qui le font sentir par les mots comme par les actes. Le président Arnaud Pouille avait tenté ce message avant Brest, mais ce n’est pas un acteur direct. Fofana a peut-être envoyé le signal. En tout cas, il faut l’espérer !
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