Que deviennent nos anciens joueurs ?

Ici, on tire (des conclusions) sans sommation.
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Léribo
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?

Message par Léribo »

Dernier message de la page précédente :

Merci bcp Clark pour les articles. Moi aussi je préférais vivre en Australie qu’au Qatar, il n’y a pas photo pour moi . :trinq:
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Mamie35
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?

Message par Mamie35 »

On a tous adoré Bourige mais il vrai que ses dernières interventions (choix du Qatar, projet sportif, engagement de Merlin et Rongier, etc.) ne sont pas passionnantes à lire
Quand il signera au Paris FC dans un an pour le projet sportif, ça ne nous fera sûrement plus grand chose
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Zillon
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?

Message par Zillon »

Qatar, Australie, peste, choléra.
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fancasmor
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?

Message par fancasmor »

On a retrouvé notre Andoran :mrgreen:

Morgan Almafitano est a Cannes en N2
Notre Dame du Verger veillez sur vos fils.

Ca ne sert a rien d'être gentil avec les gens, de toute façon ils vont mourir.
Je me souviendrai longtemps du jour de ma mort.
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fancasmor
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?

Message par fancasmor »

L'arrivée de Camaviinga.

Ça y est il est contaminé parles clowns.
Ça fait pitié
Notre Dame du Verger veillez sur vos fils.

Ca ne sert a rien d'être gentil avec les gens, de toute façon ils vont mourir.
Je me souviendrai longtemps du jour de ma mort.
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jean ramone
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?

Message par jean ramone »

Il a appris le foot chez nous, pas le bon goût... pathétique et grotesque
C'est pas que je n'aime pas travailler mais je n'en ferai pas mon métier
Hey ho let's go !
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Droopy2
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?

Message par Droopy2 »

Triste.
Et il ne sourit même plus…
"Quand il se regardait dans une glace, il était toujours tenté de l'effacer." Jules Renard.
nostradamus
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?

Message par nostradamus »

l' année dernière les deux meilleurs buteurs de la ligue des champions étaient deux anciens rennais qu' on a pas su mettre en valeur, il y en a meme un qui cirait le banc.

Un retour de Terrier serait pas une mauvaise idée parcontre.
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Karlmat
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?

Message par Karlmat »

Vive le dictariat de la prolétature !
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Trec'h
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?

Message par Trec'h »

Foot, Bleus

Peut-on être déçu par les performances d'Eduardo Camavinga en équipe de France et au Real Madrid ?

Avec 273 matches chez les pros, 11 trophées glanés avec le Real Madrid, 26 sélections en équipe de France : le milieu des Bleus, Eduardo Camavinga, traverse, à 22 ans, une carrière rare. Mais est-on en droit d'en attendre plus ?

Image
Eduardo Camavinga avec les Bleus, en Ligue des nations. (F. Faugère/L'Équipe)

Hugo Delom
publié le 9 octobre 2025 à 07h57

Cela fait partie de ces matches qui marquent une vie de fan ou de suiveur. Il est 23 heures le 18 août 2019, et, face au PSG (2-1) de Thiago Silva, Marco Verratti et Edinson Cavani, un milieu de Rennes nommé Eduardo Camavinga, alors âgé de 16 ans, vient de se révéler à la France du foot. Et un peu plus que cela. Pendant quatre-vingt-dix minutes, on n'a vu que lui. Ses feintes de corps, cette technique exquise, cette activité totale. Une nuit dorée dont on est sorti avec la conviction d'avoir aperçu un phénomène. Six années ont filé et Camavinga a confirmé les promesses qu'il avait semées ce soir-là.

Le milieu du Real Madrid est devenu ce qu'il devait être : un international français (26 sélections), un joueur du plus grand club du monde, avec les trophées qui vont avec (11). Et pourtant, en le voyant mardi à Clairefontaine, si brillant au milieu de ses coéquipiers, après une séquence où il a été longtemps absent de l'équipe de France car freiné par les blessures (adducteurs, cheville), la question est apparue. Est-on en droit d'être frustrés, voire déçus, par la trajectoire de Camavinga ? Autrement dit, à 22 ans (23 dans un mois), avec ce talent-là, ne devrait-il pas déjà être ce milieu total, titulaire en club et en sélection, capable de faire basculer un match sur une accélération ?

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Eduardo Camavinga mardi à Clairefontaine. (P. Lahalle/L'Équipe)

« Qui a ce palmarès dans le foot français ? Il y a des joueurs avec ce potentiel qui se sont brûlé les ailes. Mais lui, il arrive à maintenir ce niveau dans un club qui n'est pas en N3 »
Cédric Vanoukia, son entraîneur en U17 nationaux

« Je trouve le débat sévère. Eduardo est parti jeune de France. Il est allé dans l'un des meilleurs clubs du monde où il s'est imposé. Il a les problématiques, en termes de blessures, d'un joueur de haut niveau mais il a une progression linéaire, analyse son ex-coéquipier à Rennes Clément Grenier, désormais consultant sur Canal +. Ce qu'il fait, c'est exceptionnel. Il n'y a rien à lui enlever. Ce qu'il faut avoir en tête pour répondre à cette question, c'est le contexte : il a été en concurrence avec Luka Modric, un Ballon d'Or, avec Toni Kroos, l'un des meilleurs milieux de son époque, Federico Valverde, qui est devenu capitaine du Real Madrid. Et pourtant, il est toujours à 100 %, il est performant en entrant comme quand il commence. Et en plus de ça, c'est un joueur important de l'équipe de France, même s'il n'est pas toujours titulaire. »

Comment expliquer, alors, cette impression singulière que Camavinga, international A à 17 ans, n'est pas allé au bout de son potentiel ? L'absence de traces vraiment marquantes en équipe de France, la dégradation de son statut au profit de joueurs comme Manu Koné, le manque de séquences dorées lors de matches décisifs en Ligue des champions sont des éléments qui nourrissent le débat : « Il faut faire attention dans l'analyse car ces questions-là, je pense, sont liées à sa précocité, estime son ex-entraîneur à Rennes Julien Stéphan. Quand un joueur commence aussi tôt, il suscite des attentes très très élevées. On ne peut pas être déçus par le parcours d'Eduardo. Il a choisi d'aller dans l'un des trois clubs les plus exigeants au monde avec tout ce que cela implique en termes de pression, de concurrence. Et son bilan est très bon. »

Image
Eduardo Camavinga a remporté la Ligue des champions avec le Real en 2022. (P. Lahalle/L'Équipe)

À Rennes, ses formateurs ne masquent pas leur « fierté » sur le parcours effectué : « Quand je vois son chemin, avec tellement de travail, d'abnégation, cela ne peut susciter que de la fierté. Tout est allé très vite pour lui. Il a déjà gagné deux Ligues des champions (2022 et 2024), deux Liga (2022 et 2024), c'est exceptionnel, expose Cédric Vanoukia, son entraîneur en U17 nationaux. Votre question me fait sourire. Je comprends qu'on en attende toujours plus. Mais est-ce que s'il n'y avait pas eu les blessures récentes, on se la poserait ? Je ne crois pas. Qui a ce palmarès dans le foot français ? Il y a des joueurs avec ce potentiel qui se sont brûlé les ailes. Mais lui, il arrive à maintenir ce niveau dans un club qui n'est pas en N3 (rires). Il a 22 ans et on dirait qu'il joue comme s'il avait 10 ans d'expérience ».

On lui reproche un manque de régularité

En bleu, il est relégué 4e dans la hiérarchie des milieux. Au Real Madrid, les socios, comme l'environnement du club, ne cachent pourtant plus une frustration face à un joueur apprécié, un homme solaire mais dont on regrette le manque de régularité et une forme de légèreté. Là-bas, Camavinga n'a pas achevé son chemin. « Il a une bonne marge de progression. Jouer à gauche (latéral) lui a permis d'avoir du temps de jeu mais ne l'a pas placé dans sa position naturelle mais Eduardo a le potentiel pour être titulaire au Real Madrid », tranche Stéphan.

« Si on établit une comparaison avec Karim Benzema, il lui a fallu du temps pour être à son apogée au Real Madrid. Je pense qu'Eduardo peut emprunter ce chemin-là et être dominant à 25-27 ans, prolonge Grenier. Peut-être qu'on attend de lui qu'il soit encore plus décisif. Il l'est déjà défensivement, mais un milieu du Real Madrid doit être dans un dépassement de fonctions. Et Eduardo a ça en lui. C'est un super gamin et un joueur exemplaire. Je n'ai pas de doute sur la suite. » Camavinga a encore dix ans pour le prouver.
https://www.lequipe.fr/Football/Article ... id/1600086
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Droopy2
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?

Message par Droopy2 »

Rodon marqué contre la Belgique !
Je l'aimais bien, lui.
"Quand il se regardait dans une glace, il était toujours tenté de l'effacer." Jules Renard.
Breizou
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?

Message par Breizou »

Pareil, une équipe avec Rodon, Pedro Henrique, Del Castillo, Grosicki, Koubek, Hunou, Guirassy, ça aurait eu de la gueule...

Pas des foudres si on se réfère uniquement au niveau technique individuel à leur arrivée à Rennes, mais des mecs avec un état d'esprit et de vrais bons joueurs, utiles dans un collectif et avec de la volonté...
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bzhyoyo
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?

Message par bzhyoyo »

Henrique et "utile au collectif" dans la même phrase, ça fait bizarre. Le mec avait la tête dans le guidon et terminait ses rush parfois en sortie de buts. Alors je veux bien que la nostalgie fait voir le passé plus beau qu'il n'est, mais y'a des limites quand même.
Koubek, faudrait ressortir son sujet aussi, alors respect éternel pour la coup de France, mais il était très décrié quand même sur la durée d'une saison. Et la suite de carrière montre qu'on a bien fait de recruter. Samba, c'est quand même un autre niveau.
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momo
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?

Message par momo »

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Trec'h
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Re: Que deviennent nos anciens joueurs ?

Message par Trec'h »

Foot, Premier League, Entretien

Auteur d'un début de saison réussi après son transfert cet été, Adrien Truffert s'éclate à Bournemouth : « Le meilleur endroit où je puisse être »

Comme son nouveau club, Bournemouth, Adrien Truffert, l'ancien Rennais, réalise un début de saison remarqué en Premier League.

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Adrien Truffert réalise un début de saison convaincant après son arrivée à Bournemouth. (Imago/Icon Sport)

Johan Rigaud

Après 191 matches sous le maillot rennais, le latéral gauche Adrien Truffert s'était engagé pour cinq ans à Bournemouth, mi-juin, pour 17 M€ d'euros, bonus inclus. Si le vice-champion olympique 2024 garde un oeil sur son ancien club, et particulièrement sur son petit frère Florian, milieu de 19 ans déjà apparu dans le groupe pro, il succède chez les Cherries au Hongrois Milos Kerkez, parti à Liverpool.

Le défenseur de 23 ans, qui a connu une sélection au Danemark avec les Bleus (0-2, le 25 septembre 2022), nous explique comment il a démarré la saison sans complexes, comme son équipe (4e), en déplacement samedi après-midi (16 heures) chez l'autre surprise du début de saison en Premier League, Crystal Palace (6e).

« Lundi, le "Bournemouth Daily Echo" vous a attribué la meilleure note (9/10) des recrues estivales des Cherries. Comment vous sentez-vous là-bas ?
Ça se passe très bien pour l'instant. Collectivement, on réussit un bon début de saison et individuellement, je me suis plutôt bien adapté à l'équipe et au Championnat. Avec ma femme, on est très contents du cadre de vie également. C'est tout un ensemble qui fait que je m'acclimate bien.

Vous surprenez-vous ?
Non, car je suis venu en pensant pouvoir exprimer certaines qualités. On a aussi une bonne équipe, qui joue, qui veut presser, dont le style me correspond.

« Je me suis senti désiré, j'avais une réelle envie d'y aller, je ne suis pas venu à l'aveugle »

Vous aviez signé le 16 juin, signe que le transfert s'est dessiné assez vite...
Oui, on se parle depuis janvier dernier et ils envisageaient de me faire signer cet été. Ça m'a laissé le temps de bien réfléchir et comme c'était mon premier transfert, c'était un paramètre important de venir le plus tôt possible pour mettre toutes les chances de mon côté. Je me suis senti désiré, j'avais une réelle envie d'y aller, je ne suis pas venu à l'aveugle et aujourd'hui, c'est le meilleur endroit où je puisse être.

Aviez-vous pris aussi les devants pour ce qui est de la langue ?
Oui, j'avais suivi pas mal de cours individuels d'anglais à Rennes. D'une part car jouer en Angleterre était un de mes rêves et puis parce que ça sert partout, quand on voyage ou même à Rennes quand il y avait des joueurs anglophones. Après, ça parle un peu français (avec Bafodé Diakité, Amine Adli, Éli Junior Kroupi), ça aide aussi.

Pourquoi la Premier League vous correspond-elle bien ? Était-ce une idée fixe de vous y mesurer ?
Oui car c'est l'un des meilleurs Championnats et j'imaginais qu'il me convienne dans l'intensité et la répétition des efforts. Après, ça dépend dans quelle équipe on joue et dans celle-ci, je prends du plaisir. Dès le premier match à Liverpool (2-4, le 15 août), on a montré beaucoup de caractère pour revenir à 2-2 (alors que Bournemouth était mené 0-2). On se pousse à l'entraînement, on a tout pour ne penser qu'à performer et je veux encore progresser, passer le plus de steps possible.

Jusqu'à retrouver un jour les Bleus ?
Tout joueur a ça dans un coin de la tête. Après, c'est un peu bateau, mais il faut être performant en club sur la durée pour être appelé. Je me focalise sur ma progression et ce qui doit venir après viendra.

Image
Adrien Truffert a été titularisé lors de chacune des sept premières journées du Championnat. (Mar Leech /Offside/Presse Sports)

Qu'est-ce que votre coach, Andoni Iraola, attend de vous ?
De me projeter, d'être très agressif sur le porteur défensivement, en somme que je participe beaucoup dans les deux parties du terrain, en sachant que les excentrés prêtent aussi main-forte défensivement.

Vous avez des stats parmi les plus élevées en termes de courses à haute intensité, de sprints...
Répéter les efforts, ce n'est pas une qualité que je sors du jour au lendemain. À Rennes, je pense que j'avais aussi un gros volume de jeu. Mais on est beaucoup dans l'équipe à avoir de grosses données athlétiques.

« On a cette cohésion qui nous rend performants. Et un coach aux idées claires, audacieux »

Vous êtes-vous épaissi physiquement ?
Non, pas plus que ça. Je faisais déjà du renforcement haut et bas du corps à Rennes. Entre mes débuts en L1 (2020) et maintenant, j'ai dû prendre naturellement 5-6 kg de masse musculaire.

À 0-1 contre Fulham avant la trêve (3-1 finalement), votre coach n'hésite pas à sortir un membre de la charnière d'une défense à quatre pour un attaquant... Bournemouth, c'est une équipe qui prend des risques, joueuse et disciplinée, pour schématiser...
Oui c'est ça. On a de très bons joueurs pour nourrir cette ambition sur le terrain et ça donne des matches agréables à regarder et à jouer. Ce sont très rarement des matches fermés. Il y a eu des départs dans le secteur défensif mais ça tourne bien car le club a continué à recruter des joueurs de qualité. On a cette cohésion qui nous rend performants. Et un coach aux idées claires, audacieux.

Ressentez-vous une intensité différente de la L1 ?
Tout le monde le disait, je voulais me faire ma propre opinion et oui, il y a très peu de temps morts.

On observe un collectif huilé, cohérent, et puis vous avez le phénomène Antoine Semenyo (déjà 6 buts et 3 passes décisives)...
Oui, un top joueur. Il réalise un très gros début de saison et il nous fait du bien. On a aussi besoin de ce genre d'éléments pour être ambitieux.

C'est aussi lui qui s'occupait des longues touches de votre côté contre Fulham...
C'est quelque chose de marquant en Premier League. Dès qu'il y a une touche dans la moitié adverse, c'est quasiment tout le temps une longue touche. Et il les fait plus longues que moi (sourire). »
https://www.lequipe.fr/Football/Article ... re/1602435
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