J8 SRFC 2-2 AJA [Dim 19 oct 2025]

[Droopy2]

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Je serai juste au-dessus.

[clark]

Lucas Rosier (2007) a fait son retour sur les terrains dimanche avec les U19, après 8 semaines d’absence, l'élément majeur avec Meïté de la victoire en Gambardela.
Je l'avais complètement oublié puisqu'on n'en parlait pas, on ne le voyait plus dans le groupe alors qu'il faisait partie du groupe pro et qu'il est annoncé comme un réel espoir dès cette année u même titre que de son compère.
Il avait été touché à une cheville lors d’un amical face au PSG le 18 août dernier.
C'est un mec bien technique comme il faut, un véritable ailier perturbateur très vif, capable aussi de jouer dans les petits espaces.
Sans doute un profil qu'il nous manquait en attaque, que beaucoup réclamait et qui pourra amener de la concurrence, une solution de qualité en plus...

[Droopy2]

Tu as un côté Nostradamus.

[clark]

Avec le chapeau, la barbe, et tout et tout ?!!

[Breizou]

Lucas Rosier (2007) a fait son retour sur les terrains dimanche avec les U19, après 8 semaines d’absence, l'élément majeur avec Meïté de la victoire en Gambardela.
Je l'avais complètement oublié puisqu'on n'en parlait pas, on ne le voyait plus dans le groupe alors qu'il faisait partie du groupe pro et qu'il est annoncé comme un réel espoir dès cette année u même titre que de son compère.
Il avait été touché à une cheville lors d’un amical face au PSG le 18 août dernier.
C'est un mec bien technique comme il faut, un véritable ailier perturbateur très vif, capable aussi de jouer dans les petits espaces.
Sans doute un profil qu'il nous manquait en attaque, que beaucoup réclamait et qui pourra amener de la concurrence, une solution de qualité en plus...

Et les U19 ont enfin gagné ce week-end, une équipe tiendrait parfois à juste un joueur ?

Donc l'entraîneur, s'il lui manque un mec blessé, il devient nul ?

[fancasmor]

Ben oui
C'est son boulot de remplacer un joueur blessé
S'il a que des quiches a ce poste il change de schéma

[clark]

ENTRETIEN. « On doit tous corriger des choses » : les vérités du directeur sportif du Stade Rennais
Alors que le Stade Rennais sera très attendu dimanche 19 octobre (17 h 15) au Roazhon Park contre Auxerre, son directeur sportif sort du bois. Dans un entretien accordé à « Ouest-France », Loïc Désiré fait l’état des lieux après le mercato, évoque le début de saison décevant, les objectifs européens du club, et la situation interne autour d’un coach ciblé par de nombreuses critiques.

Le Stade Rennais aura-t-il profité de la trêve internationale pour trouver les réglages internes qui lui permettront de rebondir dimanche 19 octobre contre Auxerre ? Ce match de la 8e journée de Ligue 1 sera important pour le SRFC et son entraîneur Habib Beye, objet de diverses remises en cause.

Dans un contexte troublé, le club est sorti du silence via Loïc Désiré, le directeur sportif, qui a accordé à Ouest-France un entretien de près d’une heure cette semaine à la Piverdière. Pour tenter d’apaiser le climat, mais aussi rappeler la nécessité de très vite trouver des solutions qui mettraient fin à l’irrégularité chronique de l’équipe depuis le début de saison.

Le début de saison : « On manque de caractère, de prise d’initiatives dans les moments plus difficiles »

Le début de saison du Stade Rennais, assez illisible, est vécu négativement par tout le monde. Par vous aussi ?
En termes de points, on est un peu en retard (10 points après 7 journées). Mais le plus inacceptable est notre différence de visage d’une mi-temps à une autre. C’est difficile à expliquer, mais on ne peut pas continuer à être autant sur des montagnes russes. Des joueurs doivent monter le curseur. J’attends plus de certaines recrues, mais pas que. Globalement, on manque de caractère, de leadership, de prise d’initiatives dans les moments plus difficiles. On a l’impression qu’on subit sans réagir, qu’on se renferme, et ça, on ne veut pas le voir au Stade Rennais. Il faut que chacun prenne sur soi. C’est un état d’esprit global à avoir, et un travail individuel à mener.

Vous êtes intervenus en ce sens dans le vestiaire durant la trêve ?
Non. Je fais des entretiens plutôt en individuel, pour échanger avec les joueurs, et avec le groupe de cadres par moments. Je n’interviens jamais à chaud juste après les matches. Ce n’est pas mon rôle, et je considère que cela ne peut pas être productif.

L’Europe ? Par rapport aux moyens, à la qualité de l’effectif, on doit y être
— Loïc Désiré

Il faut changer de braquet maintenant, alors que d’ici début novembre, quatre matches vont s’enchaîner ? (1)
Si on veut atteindre nos objectifs, qui ont été définis depuis le début, forcément. Il faut surtout être beaucoup plus régulier dans le contenu.

Le top 6 reste l’objectif de la saison ?
Top 6, 7, car la 7e place peut aussi être qualificative pour la Ligue Conférence. On a fait des investissements importants, le propriétaire nous a suivis, donc on ne peut pas se cacher. Par rapport aux moyens donnés, à la qualité de l’effectif, on doit y être. L’exigence, on se l’impose quotidiennement, et très sincèrement, depuis le début de l’été j’ai vu très peu de mauvaises séances. Les joueurs sont très impliqués, ils bossent, il n’y a aucun tricheur, il n’y a pas de sénateurs ! Il y a eu des contextes de matches mal gérés, parfois un relâchement psychologique, du doute, un défaut de caractère. Mais ce n’est pas de la suffisance.
[Loïc Désiré n’a pas chômé depuis son arrivée en mai au Stade Rennais.]

La situation du coach : « Ce n’est pas un conflit, ou de la défiance, c’est la vie d’un groupe »

Depuis la semaine dernière, de nombreux échos ont circulé sur des incompréhensions de plusieurs joueurs au sujet du management ou du coaching d’Habib Beye. Avez-vous échangé avec lui, et avec les joueurs, sur cette problématique ?
Il y a tellement de rumeurs, ce n’est pas ce qui m’intéresse… On a évidemment échangé entre nous, et quand je vois ce qui se passe au quotidien, je sais qu’il n’y a pas d’ambiguïté.

Il y a eu peut-être des choses fausses ou caricaturées, mais aussi certaines vérités de fond…
Parce qu’il y a eu des échanges et des interrogations, pour chercher à comprendre pourquoi on a dérapé dans certains matches. Et heureusement qu’ils existent, entre joueurs ou avec le coach ! Je prends un exemple : les cadres ont provoqué une réunion avant Lens, ont parlé entre eux puis avec le coach, avec qui ils ont été transparents. Ce n’est pas un conflit, ou de la défiance, c’est la vie d’un groupe. Je préfère les voir touchés qu’indifférents… Pour moi, c’est un signal positif d’une prise de conscience et de responsabilités : celle que l’on veut, mais que l’on ne voit pas sur les deuxièmes mi-temps récentes ! Les interprétations à l’extérieur, on ne les maîtrise pas. On doit tous corriger des choses, du coach aux joueurs. Moi aussi, je dois pouvoir mieux faire pour apporter 10 % en plus afin qu’on soit meilleurs. Et le président s’inclut dedans.

Qu’attendez-vous d’Habib Beye, pour que les lignes bougent ? Il est souvent décrit comme un peu têtu…
Les coaches doivent être têtus, car ils ont des idées. Mais il est ouvert, tous les jours on discute, avec le président, les joueurs, il ne s’enferme pas dans son bureau. Ces trous d’air, ça le ronge, il cherche des leviers.

Il concentre les critiques, et on le dit fragilisé…
Il n’y a pas de débat là-dessus. Par contre, il faut réagir, améliorer. Habib a été du côté du monde médiatique aussi, mais il ne montre pas de signal négatif au quotidien. Il est complètement impliqué, et il n’y a pas de raison que cela ne fonctionne pas. On est avec lui chaque jour, on est là pour l’aider, on se réunit, on voit les joueurs… On est tous mobilisés ! Dans ce groupe, tout a été reconstruit par rapport à l’année dernière. Il y a eu aussi des faits de matches, cartons, blessures, peu de continuité dans le onze d’un match à l’autre pour favoriser une dynamique. On est tous frustrés, mais il faut prendre un peu de hauteur sur la réflexion globale, dans une situation qui n’est pas non plus catastrophique.

Je suis complètement dans mon élément
— Loïc Désiré

Sur un plan personnel, quel est votre ressenti après cinq mois en poste au Stade Rennais ?
J’ai trouvé mes marques très rapidement et facilement. Je suis complètement dans mon élément. Les infrastructures se développent, une structuration des différents pôles a été mise en place, notamment à la cellule de recrutement. On a toujours été aligné avec le coach et le président sur le sportif, les choix de mercato, le processus d’intégration des jeunes de l’Académie. C’était l’essentiel, alors que ce n’était pas forcément simple au départ, avec un groupe de joueurs hyper important.

Lors du mercato, il a fallu accepter de composer et de perdre de l’argent sur certaines sorties de joueurs ?
Forcément, par rapport aux tarifs de certains achetés auparavant, à leur situation sportive vécue en 2024-2025, il était difficile d’atteindre certains objectifs financiers. On voulait prêter en priorité des joueurs de moins de 23 ans, pour les revaloriser aussi d’ici juin 2026. Pour Østigård et Gronbaek, la solution du prêt payant a été trouvée avec le Genoa, et il fallait surtout diminuer la masse salariale. Le cas Rieder était différent, on voulait le garder, on a tout fait pour essayer de le mettre en confiance avec le coach, mais il en a décidé autrement. Celui de Yildirim aussi, auquel je croyais au départ, mais avec son peu de temps de jeu…

Le choix des profils de recrues : « Par rapport à ce que l’on avait décidé, il n’y a pas à avoir de regrets »

Vous avez recruté des joueurs rompus à la L1, la structure de l’équipe a de nouveau beaucoup changé…
On voulait ce type de profils, avec aussi l’expérience Coupe d’Europe. On ne fera pas cela à chaque mercato, un process va être remis en place pour faire des coups à l’étranger, comme le Stade Rennais l’a toujours fait, parce qu’on a des ambitions fortes, et parce que cela fait partie aussi de ma méthodologie de travail. Là, c’était une phase de réajustement. On a l’effectif que l’on voulait avoir.

Vous avez quand même tout tenté pour faire signer Conrad Harder…
Oui, mais la priorité en attaque au départ, c’était Embolo, parce qu’il a l’expérience, le vécu européen. Cela a mis du temps, et plus le mercato s’approchait de la fin, plus la pression montait. Sur Harder, on a eu affaire à un entourage incorrect. On avait décidé de prendre deux attaquants quand on a ouvert la porte à Yildirim, et Lepaul a toujours été aussi très haut sur notre liste. On avait pris tous les contacts dès juin, comme d’ailleurs pour Camara, dont l’arrivée a été la conséquence du départ de Rieder. Le recrutement, c’est toujours une question de timing.

Comprenez-vous les interrogations sur l’absence de recrues offensives sur les côtés, le manque de profils créatifs, dribbleurs, qui pénalisent la variété dans le jeu ?
Par rapport à ce que l’on avait décidé, il n’y a pas à avoir de regrets. Le coach souhaitait jouer avec deux attaquants, en 3-5-2, ce qui n’empêche pas non plus de mettre deux attaquants sur les côtés comme Al Tamari ou Blas. Cette question de la créativité n’est pas posée sur les mi-temps où on mène 2-0, où on doit même tuer les matches, sur nos temps forts. Elle arrive après… La base de travail sur notre jeu dans les moments forts est là, il faut maintenant la développer.

(1) après Auxerre, Rennes recevra Nice le dimanche 26 octobre, ira à Toulouse le mercredi 29 puis recevra Strasbourg le dimanche 2 novembre.
https://www.ouest-france.fr/sport/footb ... 4f72002724

[clark]

En tout cas, il a fait le job, il est visiblement lui-même un bon recrutement.
Aussi bien au niveau du dégraissage géant (qui ne semble pas encore terminé) que des recrues, même si on aurait aimé voir traité le cas de l'attaque plus tôt et effectuer ainsi rapidement un choix fort...
Mais je suppose qu'il y a aussi d'autres desiratas, les contraintes Beye et Pouille.

[Gaulois]

Réponses Langue de bois
Doué a bien appris sa leçon

Mais merci Clark

[clark]

Oui il y a forcément un certain devoir de réserve... ou alors il serait accusé de mettre un brin supplémentaire dans le gros flou actuel des actions du staff
Par contre, concernant son propre rôle et ses attributions, il s'est plutôt montré efficace.
Personne n'aurait parié sur un tel taux de réussite au niveau des ventes ... et donc aussi au niveau des achats et de la tenue du budget.
Si tout le monde pouvait, dans le cadre de ses attributions, travailler de la sorte ....

[jean ramone]

Il revient sur Harder qui est remplaçant et n'a pas marqué cette saison. Quel joueur finalement !

[Sylvain]

du coté d'auxerre:


https://forum.aja-1905.fr/viewtopic.php?f=4&t=9841

[Sylvain]

je les trouve un peu condescendants les supporters auxerrois alors qu'ils sont classés 16eme

[Dinky]

Je serais là, donc nous gagnerons, épicétou.

[Trec'h]

Frankowski et Hateboer absents de l’entraînement avant la réception d’Auxerre

[Trec'h]